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Assises dans le train
Huile sur toile de coton
châssis en bois
certificat d’authenticité
50×50 cm
mettre à l’abris de la poussière
retour possible sous 7 jours
Deux femmes partagent une banquette, réunies par un trajet. L’une, vive et attentive, observe la gare qui s’éloigne : visages, panneaux, ombres. Ses mains battent la mesure d’une chanson muette ; ses pensées attendent — conversation, annonce, couleur du ciel. À côté, l’autre est une île intérieure. Une poussière devient paysage, un reflet panorama, le froissement d’un ticket une histoire. Ses doigts parcourent la couture usée. Elles ne parlent pas. Leurs silences s’accordent : deux respirations distinctes. Parfois l’une regarde l’autre — curiosité ou empathie — et l’autre répond par un petit mouvement. Le train file. La lumière change : l’éveillée sourit, l’absorbée fronce les sourcils. Elles pourraient ne jamais se revoir, mais partagent, le temps d’un trajet, une intimité muette — deux mondes côte à côte.
Huile sur toile de coton
châssis en bois
certificat d’authenticité
50×50 cm
mettre à l’abris de la poussière
retour possible sous 7 jours
Deux femmes partagent une banquette, réunies par un trajet. L’une, vive et attentive, observe la gare qui s’éloigne : visages, panneaux, ombres. Ses mains battent la mesure d’une chanson muette ; ses pensées attendent — conversation, annonce, couleur du ciel. À côté, l’autre est une île intérieure. Une poussière devient paysage, un reflet panorama, le froissement d’un ticket une histoire. Ses doigts parcourent la couture usée. Elles ne parlent pas. Leurs silences s’accordent : deux respirations distinctes. Parfois l’une regarde l’autre — curiosité ou empathie — et l’autre répond par un petit mouvement. Le train file. La lumière change : l’éveillée sourit, l’absorbée fronce les sourcils. Elles pourraient ne jamais se revoir, mais partagent, le temps d’un trajet, une intimité muette — deux mondes côte à côte.